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Le cri d'un vieux et noble soldat. Le bilan d'une vie et d'une France qui a progressivement perdue le sens des valeurs "occidentales". Le drame d'un pays qui s'enfonce dans un marasme désarmant. Le constat d'un abandon d'une cohésion nationale qui a fait la force de la patrie dans l'adversité, une France "en guerre avec elle-même". Le livre testament du...
"La "guerre culturelle" vise à la tête pour paralyser sans tuer, pour conquérir par le pourrissement et s'enrichir par la décomposition des cultures et des peuples: le cosmo-capitalisme américain a en effet un besoin vital des cultures pour se développer mais, en même temps, son développement détruit les cultures comme le parasite détruit le corps humain."
"L'amitié et l'amour, le courage et la peur, la liberté, la fidélité et la trahison: le héros fait en quelques semaines l'expérience des grands sentiments et des grandes passions humaines. Il se retrouvera seul, prisonnier de soi-même, de ses souvenirs et de ses rêves, face à la mer dont l'horizon illimité lui propose l'image d'une liberté perdue."
"L'amitié et l'amour, le courage et la peur, la liberté, la fidélité et la trahison: le héros fait en quelques semaines l'expérience des grands sentiments et des grandes passions humaines. Il se retrouvera seul, prisonnier de soi-même, de ses souvenirs et de ses rêves, face à la mer dont l'horizon illimité lui propose l'image d'une liberté perdue."
Le cri d'un vieux et noble soldat. Le bilan d'une vie et d'une France qui a progressivement perdue le sens des valeurs "occidentales". Le drame d'un pays qui s'enfonce dans un marasme désarmant. Le constat d'un abandon d'une cohésion nationale qui a fait la force de la patrie dans l'adversité, une France "en guerre avec...
Peut-on aujourd'hui, sans chauvinisme et sans être tourné vers le passé, parler de l'amour de la France? Peut-on évoquer la passion qu'a suscitée tout au long de son histoire, cette nation, porteuse des grands idéaux universalistes? Max Gallo le croit et veut faire partager à un jeune Français l'amour de son pays.
"Ce roman est le roman des causes perdues, de la fidélité sans illusion? Sombrer debout: voilà sa noblesse de marin. Olivier de Kersangar, le Grand Foc, leurs amis, se battent pour l'autonomisme breton. Est-ce tout? Non, bien sûr. Ils se battent pour certaines valeurs symboliques." (Bernard George, Défense de l'Occident 1962)