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"Cette commune installée dans une vaste plaine, s'étalant de la mer, vers des plateaux désertiques et des massifs dénudés, commune appelée à devenir une sous-préfecture française, avait ses charmes. On y découvrait des habitants au tempérament ardent de Méditerranéens, ressortissants des religions du Livre, collaborant de leur mieux pour un développement...
"A la mémoire de nos pionniers qui créèrent dans des zones arides et steppiques des villes, des villages et des fermes exemplaires. Partie du néant, l'oeuvre accomplie était immense. Ce livre est un album d'images où j'ai rassemblé environ 500 cartes postales et photos... J'espère que vous retrouverez un passé peu oublié."
Cet ouvrage a été réalisé avec la documentation et les photographie fournies en grande partie par l'Amicale des Saïdéens et confiées à l'auteur pour en assurer la rédaction des textes. L'auteur s'est appuyé également sur le travail, réalisé dans les années 60, par le Père Escolano qui voulait que ses paroissiens se souviennent. C'est donc essentiellement...
Un violent réquisitoire contre l'abandon de cette province française mais surtout un constat sans polémique sur l'accueil des pieds-noirs "étrangers dans leur pays": "ils n'y ont d'ailleurs pas toujours reçu l'accueil que leur détresse méritait". Après un mois passé parmi eux, de Marseille à Port-vendres, de Gaillac à Moureux, l'auteur évoque puissamment...
Un violent réquisitoire contre l'abandon de cette province française mais surtout un constat sans polémique sur l'accueil des pieds-noirs "étrangers dans leur pays": "ils n'y ont d'ailleurs pas toujours reçu l'accueil que leur détresse méritait". Après un mois passé parmi eux, de Marseille à Port-vendres, de Gaillac à Moureux, l'auteur évoque puissamment...
Un violent réquisitoire contre l'abandon de cette province française mais surtout un constat sans polémique sur l'accueil des pieds-noirs "étrangers dans leur pays": "ils n'y ont d'ailleurs pas toujours reçu l'accueil que leur détresse méritait". Après un mois passé parmi eux, de Marseille à Port-vendres, de Gaillac à Moureux, l'auteur évoque puissamment...
Le second livre de Francine Dessaigne, après l'inoubliable "Journal d'une mère de famille pied-noir", traite, avec la même passion et la même tritesse, de la difficile adaptation des "rapatriés d'Algérie" en métropole d'autant que rien n'a été fait pour les recevoir dignement et qu'ils ne peuvent oublier, surtout en 1964, les morts et disparus restés sur...