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Une approche moins sévère que les jugements portés sur le règne de Louis XVI par les historiens du XIXème siècle. "Nous voudrions rendre plus vivante et plus présente cette personnalité, introduire le lecteur dans l'intimité d'un être tributaire, plus qu'aucun autre, d'hérédités diverses et d'événements imprévus."
Avec quatre planches hors-texte tirées en héliogravure. Après une vie à la cour de France qui peut apparaître "frivole", la reine Marie-Antoinette a su accepter les affres de la Révolution et mourir en Reine et en digne mère de famille
Discours prononcés lors de la réunion publique de "l'Anti-89" (organe de l'Association 15 Août 1989) au jour anniversaire de la mort du roi Louis XVI le 21 janvier et en cette année, 1989, du bicentenaire de la Révolution française: Abbé Boivin; Abbé Aulagnier; André Figueras; Marc Dem; Abbé Coache et François Brigneau.
Une grande Dame que certains auteurs du XIXe siècle ont tenté de salir. Soeur de Louis XVI, de Provence et d'Artois, amie intime de Marie-Antoinette elle est restée auprès de la famille royale pendant toute "la montée au Calvaire" refusant de s'exiler hors de France. "Elle résiste à toute les brimades jusqu'à ce que la guillotine s'abatte sur sa tête...
Entre le 14 juin et le 27 juillet 1794, mille trois cent six hommes et femmes furent guillotinés à Paris, place de la Nation. Leurs corps furent entassés dans deux fossés creusés en hâte au fond du jardi d'un couvent du quartier de Picpus. Ce jardin est aujourd'hui un cimétière où chaque année, à la mi-juin, les familles des victimes viennent en cérémonie...
Pendant ces jours d'incarcération, d'interrogatoirs et de procès, Marie-Antoinette se souvient des jours heureux, puis du flot de haine qu'elle a suscité. Elle ira jusqu'au bout "à la bravade", sans comprendre comment sa mort, après avoir subi tous les outrages qui puissent être infligés à une mère, est le revers de sa vie de reine.