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Charles Maurras a passé un dixième de sa longue vie dans les geôles de deux républiques, pour ses idées et ses écrits. Pas plus que la mort, la prison ne l'effrayait, il y trouvait le loisir de mieux rasembler l'essentiel de son oeuvre et de sa pensée. Cependant, les condamnations injustes le révoltaient et mettaient en cause sa conception rigoureuse de...
Les deux tomes, "Enchainé à toi-même..." et "Qu'un amour t'emporte!" réunis en un seul volume relié. Livre très puissant, critique mais charitable, sur le monde de la médecine et des "Grands de cet art" avec ses contraintes mais aussi ses travers. Deux jeunes médecins choisissent des voies différentes mais un drame va les rapprocher...
Un livre plutôt objectif (ce qui est relativement rare) qui nous fait découvrir derrière le polémiste et le doctrinaire politique redoutables par la rigueur de sa pensée et par sa verve littéraire un homme de son temps: littérateur, voyageur,critique littéraire, le poète et l'homme fidèle à ses amis et sachant gouter les plaisirs de la vie sans occulter...
Un catalogue détaillé des ouvrages de Maurras (des rééditions nombreuses) - et des nombreuse préfaces - mais aussi un recensement exhaustif des études, universitaires ou non, qui lui ont été consacrées. Et aussi une bibliographie complète des travaux sur l'Action française et le mouvement royaliste.
"Avec une admirable délicatesse, Mlle Marguerite Verdat narre la vie exemplaire de ce savant modeste et simple qui, à 30 ans, renonça à la vie facile que lui assurait son nom et ses amitiés pour se jeter dans l'action la plus pénible et la moins spectaculaire. " (Extrait de la lettre-préface du maréchal Franchet d'Espérey)
Quelques très belles pages de lecture pour les jeunes enfants avec, notamment, des textes de: Alphonse Daudet, Fancis Jammes, Lenôtre, Molière, Henri Pourrat, Georges Sand.
Les souvenirs littéraires , surtout mondain, du mari de Colette pour comprendre une époque où les esprit étaient beaucoup plus libres que maintenant, où les amitiés les plus solides pouvaient dépasser les idées politiques, où les élans littéraires n'étaient pas idéologiques mais purement esthétiques.